La petite fille qui aimait la lumière, de Cyril Massarotto
Salut tout le monde,
Aujourd’hui, je voulais vous parler du roman La petite fille qui aimait la lumière, de Cyril Massarotto.
1. Les informations techniques.
– Titre : La petite fille qui aimait la lumière.
– Auteur : Cyril MASSAROTTO.
– Éditeur : POCKET.
– Genre : contemporain.
– Nombres de pages : 288 pages.
– Date de publication : août 2013.
2. L’histoire (quatrième de couverture).
« Barricadé dans sa maison au coeur d’une ville déserte, un vieil homme prend des risques fous pour recueillir une petite fille blessée.
L’enfant ne parle pas, elle ne prononce qu’un mot : « Lumière », elle qui a si peur du noir. Alors, le vieillard parle, il lui raconte la beauté de la vie d’avant, les petites joies du quotidien, son espoir qu’on vienne les délivrer. Il lui enseigne la possibilité d’un avenir, quand elle lui offre de savourer le présent ».
3. Mon avis.
– Cyril Massarotto est un auteur que j’affectionne tout particulièrement. Aussi, j’avais hâte de me plonger dans ce roman.
– Ce livre relate l’histoire d’un homme âgé surnommé « l’ogre » qui va prendre des risques pour sauver une petite fille qui a été rouée de coups par d’autres enfants. Pendant la guerre, les temps sont durs. Le vieil homme, Monsieur Papi, apprend à apprivoiser cette petite fille puis finit par l’appeler « Lumière ».
– C’est en effet le seul mot que la petite fille sait prononcer. Elle ne parle pas.
– Ce livre est une petite merveille truffé de citations toutes plus belles les unes que les autres. Cyril Massarotto nous parle de la vie et de sa valeur oh combien précieuse. « Quand on a la vie devant soi, on fait les choses à toute vitesse, et quand le temps nous est compté, on perd celui qu’il nous reste à se mouvoir au ralenti » (page 22).
– L’auteur décrit également avec brillo les souffrances ressenties durant la guerre par les deux protagonistes. « Quelques grammes de métal déchirent un peu de chair et votre monde s’écroule » (page 115).
– Pourtant, ce roman pourrait sembler un peu déroutant parce qu’il reste vague sur certains points. L’auteur nous parle notamment des autres, mais qui sont-ils précisément ? Bien que le livre ne soit pas toujours clair, le style est tellement fluide et prenant, que ce n’est pas du tout gênant !
– Par ailleurs, Lumière se prend de passion pour le piano au fil du roman. J’ai adoré ces instants un peu hors du temps. « Le piano n’est pas le roi des instruments, il en est l’empereur, le messie » (page 124).
– Ce roman est magnifique. Il est bien loin de l’univers de Dieu est un pote à moi ou 100 pages blanches. La plume de l’auteur est splendide et poignante. Elle est empreinte d’une certaine mélancolie. Lumière et Monsieur Papi vont apprendre à s’apprécier tout doucement. Ils vont aussi tenter d’oublier les horreurs de la guerre.
– Je voulais terminer cet article avec deux citations que je trouve très belles :
– « Être libre, tu sais, c’est d’abord ne plus avoir peur » (page 202).
– « Mais dans la vie normale, un vieil homme ne laisse aucune porte verrouillée devant une enfant qui n’a jamais connu la liberté » (page 208).
4. En bref.
– Une fois de plus, Cyril Massarotto a réussi à me captiver ! Quelle claque ce livre ! Je vous le recommande vivement !
– Il se lit vite parce que la plume de l’auteur est fluide et subtile. Des sujets délicats sont traités tout en douceur. Chapeau l’artiste !
Voilà pour aujourd’hui !
J’espère que cet article vous aura plu !
~~ Et vous, connaissez-vous ce roman ?
~~ Si oui, qu’en pensez-vous ?
~~ Si non, pourrait-il vous plaire ?
Je vous souhaite une belle journée, merci pour vos commentaires !
Encore une belle découverte pour moi tu nous présente vraiment de belles lectures !!
Ce livre doit être remplies de sentiments !! Il donne vraiment envie de lire les deux citations que tu as sélectionné sont touchantes !!
Je te fais de gros bisous ma douce et à très vite ❤️
Oh merci pour ton adorable commentaire ma toute belle ! Je te conseille vivement ce livre, je l’ai adoré ! Plein de bisous <3