Les dieux voyagent toujours incognito, de Laurent Gounelle


Salut tout le monde,

Aujourd’hui, je voulais vous donner mon avis sur un roman de Laurent Gounelle. Il s’intitule de Les dieux voyagent toujours incognito.

1. Les informations techniques.

– Titre : Les dieux voyagent toujours incognito.
– Auteur : Laurent GOUNELLE.
– Éditions : POCKET.
– Genre : contemporain.
– Nombre de pages : 475 pages.
– Date de publication : avril 2012.

2. L’histoire (quatrième de couverture).

« Imaginez : vous êtes au bord du précipice.

A l’instant fatidique, un homme vous sauve la vie. En échange : votre engagement à faire tout ce qu’il vous demandera. Vous acceptez et vous voilà embarqué dans un incroyable voyage où tout semble vous échapper.

Plus qu’un roman, une réflexion sur soi-même qui nous invite à prendre notre destin en main ».

GounelleCrédits photo.

3. Mon avis.

Alan Greenmor fait du base-ball pour faire plaisir à sa mère alors qu’il déteste le sport. « J’aimais ma mère et j’aurais fait n’importe quoi pour ne pas la décevoir » (page 16). Sa mère décède lorsqu’il termine ses études. « La venue au monde des enfants fait partie des choses tellement courante autour de nous, que l’on oublie parfois l’énormité, la grandeur, la magie de cette chose inouïe. Créer une âme » (page 317).
Le décès de sa mère est pour lui comme le signe que sans son fils en train de faire du sport, elle n’a plus de raison de vivre.

Alan trouve un emploi en France, à Paris. Il devient recruteur. Il mène une vie banale jusqu’au jour où il rencontre Audrey. Il l’aime à la folie. Ils sortent ensemble 4 mois puis elle le quitte en ne lui disant qu’un seul mot : « adieu ». Pas d’autres explications. Il n’arrive pas à s’en remettre. Il souffre beaucoup de la situation.
Marre de mener sa vie si douloureuse, il tente de se suicider en haut de la Tour Eiffel. Mais il est sauvé in extremis par Yves. C’est là que son destin va basculer. « Je n’étais plus moi. Je me fondais dans l’espace, dans la vie, dans la mort » (page 26).
Alan devra écouter Yves pour rester en vie, il s’y est engagé. Comme Alan n’a rien à perdre, ni famille, ni amis, il accepte la proposition d’Yves.  « La vie est un risque. Si tu n’as pas risqué, tu n’as pas vécu » [Soeur Emmanuelle].

Alan se rend chez Yves et lui raconte sa vie. Il se confie difficilement au début puis avec une facilité déconcertante à la fin de leur entretien, presque soulagé de se livrer ainsi. « C’est finalement assez agréable, une fois que l’on a passé la barrière de la pudeur, de disposer d’une oreille attentive » (page 40).
Il ne croit plus en lui. Il est loin de mener la vie dont il rêve.
« La vie est longue et ennuyeuse quand on ne la vit pas comme on voudrait » (page 53).

A travers plusieurs étapes imposées par Yves, Alan reprend confiance en lui. Il ose davantage s’exprimer et il a envie de vivre. « Si tu veux rester jeune toute ta vie, continue d’évoluer, d’apprendre, de découvrir, et ne t’enferme pas dans des habitudes qui sclérosent l’esprit, ni dans le confort engourdissant de ce que tu sais déjà faire » (page 145).
Il accomplit plusieurs tâches sous forme d’exercices pratiques de la vie quotidienne. Certaines sont loin d’être faciles, et pourtant, il y parvient courageusement.
Plus épanoui sur un plan personnel, il finit alors par faire une ascension fulgurante dans le monde professionnel.

Vers la fin du roman, Alan apprend finalement que Yves – ou Igor – n’est autre que son père. Il est malheureusement décédé entre temps. Mais Alan est fort et solide comme un roc. Il se bat pour vivre et retrouve même l’amour d’Audrey, sa bien-aimée. Elle n’avait jamais cessé de l’aimer.

4. En bref.

– Ce livre pourrait sembler sorti tout droit de l’univers des bisounours. Pourtant, il n’en n’est rien. Laurent Gounelle manie encore avec brillo la langue française. Il fait réfléchir le lecteur sur ses propres choix de vie, ses envies, ses craintes, ses aspirations. Nous nous demandons comment nous pourrions changer notre situation si elle ne nous convient pas.
– J’ai apprécié le personnage d’Alan qui est attachant. J’ai eu envie de le voir progresser au fil des pages et j’ai été ravie qu’il parvienne enfin à s’épanouir.
– Le personnage de Yves est également très bien trouvé. C’est certes un peu tiré par les cheveux, parce que se trouver au bon endroit au bon moment est rare, mais j’ai totalement adhéré à l’idée.
– C’est un livre très axé PNL – développement personnel – qui vous aidera certainement à mieux vous connaître et à avancer dans la vie. A lire et à relire dès que les effets positifs de cette lecture s’estompent !

Voilà pour aujourd’hui !
J’espère que cet article vous aura plu !

~~ Et vous, connaissez-vous ce livre ?
~~ Si oui, qu’en pensez-vous ?
~~ Si non, pourrait-il vous plaire ?
~~ Appréciez-vous la plume de Laurent Gounelle ?

Je vous souhaite une bonne journée, merci pour vos commentaires !

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2 commentaires sur “Les dieux voyagent toujours incognito, de Laurent Gounelle

  1. Merci pour ton avis sur cette lecture. Je ne connais pas cet auteur.